Fin janvier, le graphe des bougies mensuelles montrait une forte hésitation (grandissante comme je le précisais) sous la résistance des 4400 points (4407 précisément)
Je soulignais qu'aucun signal vendeur n'était cependant apparu avec les 3 dernières bougies, si bien que la bougie blanche formée en cette fin de mois de février le confirme et annule complètement tout risque de départ baissier.
Le marubozu blanc de clôture avale en totalité le corps de la bougie noire de janvier, ainsi que son ombre haute, mais vient clôturer précisément sur la résistance des 4407 points.
Cette particularité n'en fait pas une bougie de relance haussière sur l'unité de temps mensuelle, car il reste à la confirmer, mais elle s'inscrit parfaitement dans la tendance long terme qui caractèrise notre marché depuis juin 2012.
Cette particularité n'en fait pas une bougie de relance haussière sur l'unité de temps mensuelle, car il reste à la confirmer, mais elle s'inscrit parfaitement dans la tendance long terme qui caractèrise notre marché depuis juin 2012.
Si l'on considère la petite bougie blanche formée cette semaine, celle-ci confirme le franchissement du sommet de novembre 2013 survenu la semaine dernière.
Elle prolonge donc la tendance haussière qui a repris en début de mois de février, mais se trouve confrontée à la résistance des 4416 points qu'elle s'est "contentée" de toucher cette semaine.
Ce niveau pourrait être à l'origine, comme pour la configuration décrite sur le graphe mensuel, d'une éventuelle correction en rapport avec les tensions en Ukraine ainsi qu'avec l'invasion russe en Crimée, si toutefois les marchés américains y réagissaient négativement.
Cependant, techniquement, aucun signal ne vient entraver la tendance haussière en cours.
Cependant, techniquement, aucun signal ne vient entraver la tendance haussière en cours.
Il faudrait observer une rechute sous les 4250 points pour retrouver une situation dégradée à moyen terme.
2 commentaires:
Comme vous le laissez entendre, il est fortement hypothétique aujourd'hui de penser que les marchés pourraient réagir négativement à la présence de troupes russe en Crimée.
De mémoire (merci de me contredire si je me trompe), le conflit entre la Russie et la Georgie, qui avait été bien plus dramatique, n'avait pas eu d'impact sur la bourse.
Ce qui m'inquiète le plus est l'état de l'économie ukrainienne. Va t'il y avoir un effondrement de banques Ukrainiennes et une répercussion sur des banques étrangères (pas seulement Russes...) ?
L'Europe a t'elle les moyens de financer un sauvetage de l'économie Ukrainienne ?
Comment les Ukrainiens vont ils réagir aux mesures de rigueur que vient de leur promettre leur nouveau premier ministre ?
Bonsoir,
Vous posez les bonnes questions, mais il y a les tensions géopolitiques d'un côté et l'analyse technique des marchés de l'autre.
Il est possible qu'un repli des marchés soit provoqué par des tensions entre la Russie et les États-Unis, mais c'est l'AT que je privilégie uniquement pour des décisions.
Cordialement
J.M.
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