Bonsoir,
Après la formation du grand marubozu noir d'ouverture de fin de semaine dernière, le CAC 40 a finalement lancé son rebond à partir du support des 6830 points.
Nous sommes en droit de nous demander si ce marubozu noir de grande taille ne correspond finalement pas à une capitulation des acheteurs sous pression depuis pratiquement 2 mois.
Il est trop tôt pour valider cette spécificité de marché même si l'indice affiche une progression de 3,71% cette semaine.
La petite bougie noire formée ce jour après une ouverture de fenêtre haussière hier lance le test de cette fenêtre "facilité" par la présence de la MM 150 jours toujours baissière à proximité de ce rebond.
Il faudra impérativement suivre le sort qui sera réservé à cette fenêtre car une invalidation pourrait conduire à une rechute du CAC 40.
Si l'on en vient au graphe de court terme, hebdomadaire, c'est une figure fondamentale en étoile du matin qui se forme.
Cette structure est en théorie une structure de renversement de creux qui confirme que le courant acheteur a bien repris la main suite à l'indécision dans le camp des vendeurs la semaine dernière matérialisée par le marteau inversé.
Il faut maintenant rester prudent sur le potentiel haussier que peut receler cette étoile du matin en "face" d'une MM 30 semaines baissière dans une tendance majeure (mensuelle) baissière validée à l'issue du mois d''octobre.
Il convient de surveiller l'évolution du marché en cas de retour vers le support des 6955 points.
Le scénario que je privilégie dans un 1er temps est une forme d'hésitation entre ce support et la MM 30 semaines.
2 commentaires:
Bonjour Jean-marie,
Il semble que votre scénario de l'hésitation tienne la route pour l'instant. Pouvez vous me dire si, selon vos critères, la fenêtre haussière du jeudi 2 novembre est invalidée ?
Merci
Michel
Bonsoir Michel,
La fenêtre haussière n'a pas été invalidée dans la période dédiée à son test mais simplement et rapidement refermée par le marubozu blanc d'ouverture du 8/11.
Cela dit, son influence n'a plus la même signification.
Cordialement
J.M.
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